Vocabulaire informatique

Soumis par Jenny le 11 sep 2014 - 14:09

Vers mes autre listes: acronymes informatique (systeme appli...) et ma page d'acronymes Exchange. Vers quelques dates en info (et histoire).

L'état a définit des traductions officielles de termes informatiques (parution au JO).

Connecteurs réseau en PJ (ou à http://packetlife.net/media/library/22/physical_terminations.pdf)

Vocabulaire Hard
1U form factor	dans un rack, taille min. On parle de 1U, 2U... 1U = 1,75 pouces = 44,45 millimètres
	http://www.ybet.be/hardware/definition.htm

Vocabulaire Deep et de base
CW DW FDW	= Clear web Deep = French Deep Web
DOX FUD	Rassemblement d'informations sur une personne = indétectable par les antivirus actuels
IRL IG scam	= In Real Life (dans la vraie vie) = In Game (En Jeu) arnaque
SE	Social Engineering, ou en français "ingénierie social", ce qui signifie "toutes les méthodes de manipulation d'une personne".

honeywords : faux mdp (stockés au même endroit que les mots de passe d’un utilisateur) pour duper pirates. On surveille les systemes sur ce credential.
honeypots : faux hotspots WiFi utilisés pour capturer les informations personnelles des internautes qui s’y connectent
DNS alternatifs / Tier2 Server : voir http://wiki.opennicproject.org/Tier2

SPF l’enregistrement SPF (Sender Policy Framework) est une recommandation du propriétaire du nom de domaine aux destinataires de ses e-mails. En créant et configurant un enregistrement SPF, vous réduisez les chances que des spammeurs et escrocs puissent envoyer des messages de « votre » part. S’ils le font, leurs messages seront interceptés par des filtres et des protections dont sont équipés les destinataires des messages.
un enregistrement TXT avec :

'v=' indique la version du SPF
'include' inclut le SPF ou tout autre hôte spécifié
Une adresse IP ou un hôte avec un SPF par défaut que vous voulez adopter comme étant vôtre – indiquant le nom exact du serveur autorisé ou un groupe de serveurs de noms autorisés
Le qualificateur peut être une des options suivantes :
- -all est un « hard fail », ce qui signifie que n’importe quel message qui ne provient pas d’un serveur repris dans le SPF doit être traité comme du spam
- ~all est un « soft fail », ce qui signifie que n’importe quel message qui ne provient pas d’un serveur repris dans le SPF est probablement du spam
- ?all est un qualificateur neutre, ce qui signifie que le serveur de courrier entrant peut lui-même décider si le serveur sortant n’est pas repris dans le SPF, mais si le serveur mail est exclusivement inclus dans le SPF, cela devrait fonctionner
- +all signifie qu’il n’y a aucune limite pour ce domaine

swaguer = nager dans le stream hype (MDR)

Go, Golang : créé par Google en 2009, https://en.wikipedia.org/wiki/Go_(programming_language)

Note: ne pas confondre Deep web (non trouvable par moteur de recherche, une partie de TOR) et Dark web (bien moins légal : achat de malware, armes, codes de carte bleue...). Cf doc du CLUSIF (d'avril 2015).

Une jolie citation (http://calnewport.com/blog/2018/03/20/on-social-media-and-its-discontents/) :

There’s a distinction between the social internet and social media.

The social internet describes the general ways in which the global communication network and open protocols known as “the internet” enable good things like connecting people, spreading information, and supporting expression and activism.

Social media, by contrast, describes the attempt to privatize these capabilities by large companies within the newly emerged algorithmic attention economy, a particularly virulent strain of the attention sector that leverages personal data and sophisticated algorithms to ruthlessly siphon users’ cognitive capital. 

Ou "Il y a une distinction entre l'internet social et les médias sociaux.

L'internet social décrit les manières générales dont le réseau de communication mondial et les protocoles ouverts connus sous le nom d'Internet permettent de connecter les gens, de diffuser l'information et de soutenir l'expression et l'activisme.
Les médias sociaux, en revanche, décrivent la tentative de privatisation de ces capacités par les grandes entreprises au sein de la nouvelle économie algorithmique de l'attention, une source particulièrement virulente du secteur de l'attention qui utilise des données personnelles et des algorithmes sophistiqués pour siphonner impitoyablement le capital cognitif des utilisateurs."